Vous l’aurez compris, l’éditorial mensuel que je propose sur ce site de l’AOC n’est pour moi que l’occasion de rédiger un essai portant sur la pratique de l’aïkido confrontée à un référentiel me servant de réflexion existentielle
Cet éditorial se rapporte à: l’art et la pratique de l’aïkido
Venant juste après les 4 premiers éditoriaux, portant sur la Bonté, Amour, Sagesse et Vérité, quatre briques élémentaires, qui, d’après le référentiel utilisé seraient des composantes de toutes notions, la notion d’art se réfèrerait selon moi, à tout ce qui à trait à la capacité de relier, d’interférer, deux ou plusieurs choses, entre elles
Cette notion d’interaction, pour ne pas être totalitaire, se doit d’être réciproque, librement consentie au sein d’un cadre prédéfini et porteuse de sens, de valeur ajoutée aux protagonistes .
La pratique de l’aïkido me semble pleinement prendre à son compte et utiliser ces notions lorsque l’on évoque la notion de lien entre Tori et Aité, notion par laquelle les 2 partenaires cherchent à se mettre à l’écoute permanente du comportement et réaction de l’autre, afin de s’y adapter, de se fondre en elle afin de ne faire qu’un.
Ainsi se trouve être effacée la dualité initiale, tel 2 astres reliés par la force gravitationnelle qui leur imprime à tout deux une dynamique résultante commune. Ici, chaque protagoniste accepte en toute liberté le rôle qu’il se désigne, notamment Aité qui se donne, autant qu’il sait le faire, au profit de la recherche personnelle de Tori.
La conjonction des notions de don et de se fondre en l’autre, nous ramène à la notion d’Amour telle qu’elle a été précédemment abordée. Comme toute chose qui interagit sur nous, œuvre littéraire, picturale, sculpturale, cinématographique…toute parole,… elle devient notre.
Par la pratique de l’aïkido se trouve se réaliser une alchimie, une transformation profonde en nous,et qui pourrait permettre de justifier l’entête de cet éditorial : Amour de l’art et aïkido.
Cet éditorial se rapporte à: l’art et la pratique de l’aïkido
Venant juste après les 4 premiers éditoriaux, portant sur la Bonté, Amour, Sagesse et Vérité, quatre briques élémentaires, qui, d’après le référentiel utilisé seraient des composantes de toutes notions, la notion d’art se réfèrerait selon moi, à tout ce qui à trait à la capacité de relier, d’interférer, deux ou plusieurs choses, entre elles
Cette notion d’interaction, pour ne pas être totalitaire, se doit d’être réciproque, librement consentie au sein d’un cadre prédéfini et porteuse de sens, de valeur ajoutée aux protagonistes .
La pratique de l’aïkido me semble pleinement prendre à son compte et utiliser ces notions lorsque l’on évoque la notion de lien entre Tori et Aité, notion par laquelle les 2 partenaires cherchent à se mettre à l’écoute permanente du comportement et réaction de l’autre, afin de s’y adapter, de se fondre en elle afin de ne faire qu’un.
Ainsi se trouve être effacée la dualité initiale, tel 2 astres reliés par la force gravitationnelle qui leur imprime à tout deux une dynamique résultante commune. Ici, chaque protagoniste accepte en toute liberté le rôle qu’il se désigne, notamment Aité qui se donne, autant qu’il sait le faire, au profit de la recherche personnelle de Tori.
La conjonction des notions de don et de se fondre en l’autre, nous ramène à la notion d’Amour telle qu’elle a été précédemment abordée. Comme toute chose qui interagit sur nous, œuvre littéraire, picturale, sculpturale, cinématographique…toute parole,… elle devient notre.
Par la pratique de l’aïkido se trouve se réaliser une alchimie, une transformation profonde en nous,et qui pourrait permettre de justifier l’entête de cet éditorial : Amour de l’art et aïkido.